Collègue sous les feux de la rampe – Vincent

Vincent est l’un de nos consultants juniors. Diplômé d’un Master en biochimie et biotechnologie, il travaille depuis deux ans en tant que consultant dans des environnements de production GMP. Sa première mission a été celle d’ingénieur de projet pour des usines de production aseptique (stérile). Il y a quelques mois, il a entamé sa deuxième mission chez Trevalco en tant qu’ingénieur de production.

Dans cette courte interview, nous laissons Vincent parler du contenu de ses fonctions d’ingénieur de production.

Quelles sont vos principales fonctions en tant qu’ingénieur de production ?

Actuellement, mes fonctions consistent à enquêter sur les déviations au cours du processus de production et à les traiter.

En effet, lorsqu’il y a un écart par rapport à la procédure validée, un écart se produit dans notre système. Cet événement doit alors faire l’objet d’une enquête dans le but d’identifier une cause fondamentale correcte. De cette manière, nous pouvons définir des actions CAPA ciblées et concrètes pour éviter de tels écarts à l’avenir. En outre, une évaluation de l’impact est également réalisée afin de déterminer l’impact de cet écart sur le produit.

Il est important que ces examens soient réalisés de manière approfondie et efficace afin d’éviter tout risque pour le patient.

Qu’est-ce qui vous plaît dans cette mission ?

Ce qui rend cette mission si amusante, c’est que vous entrez en contact avec différents services et différentes personnes au cours des enquêtes. Vous réfléchissez ensemble aux problèmes pour trouver une bonne solution. Les nombreux événements et déviations sont également toujours assez différents pour garder les choses intéressantes.

Enfin, chaque déviation est terminée dans un laps de temps relativement court. Il est donc plus facile d’avoir un sentiment d’accomplissement et de « travail bien fait » que dans le cas de projets s’étalant sur plusieurs mois.

Il doit aussi y avoir des inconvénients à ce travail ?

Toutes les déviations ne sont pas aussi évidentes. Il faut parfois creuser profondément pour trouver une cause et dépendre des informations d’autres personnes, ce qui n’est pas toujours rapide.

Mais dans l’ensemble, ce n’est pas si mal.

Vous avez commencé à travailler dans les sciences de la vie il y a deux ans en tant que jeune diplômé. Pourquoi recommanderiez-vous ce secteur aux jeunes diplômés ?

Les sciences de la vie sont un secteur merveilleux. Vous avez l’aspect scientifique, où de nouveaux développements sont constamment en cours. En outre, de nombreux emplois dans ce secteur peuvent aider les patients. Ils ne sont peut-être pas aussi visibles qu’un médecin, par exemple. Mais les personnes travaillant dans les sciences de la vie sont le pilier qui permet d’aider des milliers de patients chaque année.